Votre guérison vous appartient

Quatre facons de retrouver son chemin

Toute guérison est en réalité une auto-guérison, une fonction autonome du vivant.
Mais force est de constater qu’elle ne se déroule pas sans embuche.

Autoguérison parfaite

Ici, je décris un déroulement possible sans encombre, sous l’égide d’un moi sain et centré.

Contrairement à une croyance populaire, se guérir n’est ni une démarche autonome de l’organisme, ni sous la responsabilités des intervenants extérieurs.

Elle exprime plutôt une connexion qui dirige le déroulement malgré soi et propulse l’organisme vers une croissance.

En ceci elle ressemble à une grossesse.

Mais cette connexion se fait rare!

Dynamique de Vie en nous

De nouveau, un ancrage dans une structure dépassant mon personnage isolé en faisant appel à la Vie.

La guérison suit une impulsion que je nomme dynamique de Vie

Elle donne une version augméntée de l’autoguérison parfaite

Deuil pathologique

Décrit pour la première fois par Elisabeth Kübler-Ross, cette forme de deuil révèle un ancrage du patient dans la perte de soi: il se croit depuis trop longtemps sur une pente vers la mort sans issu possible.

En suit des phases douloureuses de deuil qui se succèdent dans un effort vain de l’arracher à cet engrenage.

Le drame veut que les thérapeutes actuels voient ici une dynamique auto-guérisseuse dans le déroulement des phases qui, en réalité, se superposent sans cesse.

Deuil figé, sclérosé

ici, les trois termes précédents « moi », « vie » et « mort » ont disparu pour laisser la place au néant, à l’absurdité d’un chaos omnipotent.

Les conséquences sont profondes, souvent définitives sauf intervention rapide en urgence.

Car cette phase correspond à une mort existentielle menaçante.

Reprenons ces 4 cartes 

Guérir d’un choc, d’un évènement, d’une perte ou d’une maladie chronique commence par une décision: celle de faire appel à une autorité. Je compare ce processus à celui d’initier une grossesse. On a besoin d’un partenaire (ici : thérapeute, médecin, magnétiseur) ou d’une PMA,… (ici : compléments, médicaments), ou simplement d’une ouverture d’esprit, image parlant d’une âme qui sait qu’elle est connectée et qui laisse entrer une synchronicité inattendue, une coïncidence, le hasard qui fait bien les choses.

Comme pour une grossesse, il y a un cheminement vers cette prise de décision que la psychiatre Elisabeth Kübler-Ross a décrite sous forme de cinq phases que j’ai complété par une sixième: Ces six phases forment le cadre de quatre chemins concrets d’entamer la décision de vouloir guérir:

1) Le processus fait simplement appel au moyen embarqués à bord, c’est à dire au « moi ». Il est naturellement dégagé et s’enclenche individuellement sans encombre. Ce scénario, aussi tentant qu’il puisse paraitre, pose le problème d’une vie qui se déroule comme un long fleuve tranquille : aucune aspérité permettrait de s’y frotter pour se réveiller d’un doux rêve sans conséquences.

2) Le prochain chemin contourne ce problème. il fait appel à la Vie ordonnée: Le deuil est compris dynamiquement comme cheminement vers un libre jeu des huit manifestations de vie que je décris dans la section « Vie » de ce site.

3) Mais Elisabeth Kübler-Ross constate que des résistances empêchent le démarrage de l’auto-guérison ou ce dépassement de soi : elle parle de cinq phases de deuil qui s’y opposent, bien qu’elles permettent encore l’alternance de ces phases. Elles se succèdent par contre à l’infini. J’ai ajouté une sixième phase essentiel pour comprendre l’a cancel culture’ambiance actuelle qui transforme collectivement cet échec individuel.

4) Dans ce quatrième chemin, une des six phases s’est bloquée durablement, expliquant la multiplication de maladies chroniques mais aussi certains comportements excessifs du corps collectif.

Je décris par ces quatre possibilités une vision intégrale de forces en nous qui peuvent se dérégler bien avant l’apparition d’une maladie individuelle ou pandémique. Ces forces dépassent le destin isolé des personnes malades, car la maladie y apparait comme le point culminant d’un dérèglement collectif ancien et transmis de génération en génération depuis le debut de l’ère historique.

Nous nous trouvons donc à plusieurs carrefours entre de grands strates qui déterminent nos vies: évènements, deuil, huit niveaux de vie, l’homme dépendant de sa mémoire transmise de génération en génération avec de plus en plus d’erreurs, finissant dans une pandémie millénaire réactivée par le Covid. Ces carrefours sont le thème de mon enseignement qui demande plus qu’une lecture attentive de ce site, un échange vivant, une confrontation d’idées et de façons de vivre une vie. Vous pouvez explorer cet univers pour voir si ceci vous intéresse ! Entrez donc dans la complexité de mon enseignement par la porte des quatre façons de vivre un évènement