L’Eau vivante

De la dynamisation au vivant subtil

J’ai fait un calcul réaliste pour estimer le pourcentage de molécules d’eau dans le corps d’un nouveau-né: En termes de nombre de molécules : ~99 % sont des molécules d’eau. Ce chiffre reste pratiquement identique chez l’adulte avec ~98 %. Ètonnant, n’est-ce pas? Nous somme un joli contenant compartimenté (ou non, si on prend le modèle du corps sans organes), avec un seul contenu, l’eau!
Voici le calcul:

Quelle proportion de molécules d’eau dans le corps humain ?

On sait que le corps humain est composé en grande partie d’eau, mais que représente cette proportion en nombre de molécules plutôt qu’en masse ?

Nouveau-né

  • Poids moyen : 3 kg
  • Teneur en eau : 75 % → 2,25 kg
  • Moles d’eau : 2250 g ÷ 18 g/mol = 125 moles
  • Molécules d’eau : 125 × 6,022 × 10²³ = 7,5 × 10²⁵
  • Autres molécules (estimation) : ~9 × 10²³
  • Proportion de molécules d’eau : ≈ 98,8 %

Adulte

  • Poids moyen : 70 kg
  • Teneur en eau : 60 % → 42 kg
  • Moles d’eau : 42 000 g ÷ 18 g/mol ≈ 2333 moles
  • Molécules d’eau : 2333 × 6,022 × 10²³ = 1,4 × 10²⁷
  • Autres molécules (estimation) : ~3,4 × 10²⁵
  • Proportion de molécules d’eau : ≈ 97,7 %

Conclusion

En masse, un nouveau-né contient plus d’eau qu’un adulte. Mais en nombre de molécules, l’eau représente environ 98 à 99 % de la composition moléculaire du corps humain, quel que soit l’âge. Cela montre à quel point nous sommes, fondamentalement, faits d’eau.

Compétence

Résumé

L’eau est bien plus qu’un solvant ou un véhicule : elle est mémoire, mouvement, vibration. Dynamisée, vortexée, allégée — elle devient capable de transmettre une information au vivant.

Philippe Bunau-Varilla avait pressenti cela : en modifiant le mouvement de l’eau, on modifie son efficacité, sa douceur, sa portée thérapeutique — même à très faible dose.

L’eau vivante n’est pas une croyance : c’est une hypothèse solide, bâtie sur des observations minutieuses, une ouverture, un pont entre science oubliée et avenir du soin. Elle interroge nos manières d’entrer en relation avec la matière elle-même.

Mon Eau Vivante

1. Pourquoi ce thème ?

L’eau est à l’origine de tout. Mais nous avons oublié ce que cela veut dire. Nous la réduisons à un liquide neutre, un support chimique, une fonction. Or, à l’écoute du soin, l’eau se révèle : mouvante, intelligente, sensible.

C’est dans la pratique de l’homéopathie que j’ai rencontré pour la première fois la notion d’eau informée, dynamisée, rendue active sans contenu mesurable. Cela m’a longtemps dérangé — jusqu’au jour où j’ai cessé de chercher la preuve pour simplement observer ce qui se passe. Et ce que j’ai vu m’a profondément transformé.

Car dans certains états, l’eau ne transporte pas seulement des substances, mais des signaux. Elle devient un pont entre ce qui se voit et ce qui se ressent.

2. Comment agit-elle ?

L’eau est une matrice. Elle enregistre, elle résonne, elle amplifie. Elle est capable de transmettre des formes vibratoires à l’intérieur du vivant — pas de manière métaphorique, mais fonctionnelle.

Quand elle est dynamisée — vortexée, secouée, libérée de ses tensions — l’eau change. Elle gagne en fluidité, en douceur, en clarté. Certains pionniers, comme Philippe Bunau-Varilla, ont observé qu’en modifiant le mouvement de l’eau, on modifie son efficacité thérapeutique, même à très faible dose.

Ce n’est pas une magie, mais une mécanique subtile. L’eau devient alors capable d’agir comme interface sensible entre le corps, la mémoire, et l’intention. Elle capte ce que la parole ne peut dire, ce que le corps ne peut crier.
Elle devient un miroir liquide, un amplificateur de la vie fine.

3. Ce que j’en fais en pratique

Dans mes accompagnements, je n’impose pas l’eau vivante. Mais je la propose, comme une voie d’entrée douce, presque invisible, dans des processus profonds. Je m’appuie sur des formes d’eau dynamisée, testées en lien avec les ressentis du patient. Parfois, quelques gouttes suffisent à modifier la qualité du sommeil, à déclencher un souvenir oublié, ou à rétablir un rythme biologique altéré.

Mais surtout, je me sers de l’eau comme d’un outil d’écoute. Elle me permet de ressentir les zones de figement, les mémoires anciennes logées dans le corps.L’eau me parle quand le langage humain est devenu trop saturé.

C’est une présence humble, presque silencieuse, mais qui sait trouver les endroits en nous que même la conscience ne voit plus.

4. Une ouverture

L’eau vivante est une hypothèse. Mais une hypothèse agissante. Elle n’a pas besoin d’être démontrée pour être éprouvée. Elle ouvre un autre rapport à la matière — où ce qui compte, ce n’est plus ce que contient l’eau, mais ce qu’elle transporte sans forme.

Et si l’eau était le premier thérapeute ? Celui qui ne juge pas, ne dirige pas, mais épouse, réveille, relie. Un jour peut-être, nous apprendrons à écouter cette eau qui nous traverse.

Mes pages sur l’eau vivante

Mon Eau Vivante est l’aboutissement de celle de Philippe Bunau-Varilla qui a éradiqué Choléra et Typhus en France et ailleurs.
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